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Ribambelle
30 novembre 2008

Gilles a vu Pauline un matin, à l'école, en

A

Gilles a vu Pauline un matin, à l'école, en déposant son enfant. Un soir l'un va convier l'autre, puis la conversation va s'engager. Conversation entre deux êtres qui se cherchent, se désirent, se dévoilent ; jusqu'où cela ira-t-il ?

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Deux extraits : "Elle eut un sourire gêné à quoi il reconnut qu'il était deviné. Une attente magique venait de commencer. Nul ne sait les détours que prendra le réel pour venir à son dessein. Nul ne sait comment adviennent les choses rêvées, ni comment il se peut qu'elles n'adviennent pas. Le dieu des amours jubilait.......Jusqu'à ce que la mort vous sépare, vos corps s'attireront, et ainsi jusqu'à l'effacement de la chair, jusqu'au délitage et la poussière..."

"Bien sûr rien d'autre ne se produisit ce jour-là, que cette capture silencieuse d'un homme dans une femme et d'une femme dans un regard. Il n'advint rien, que ce silence plein de choses sues, d'évidences indéfiniment jouées, ce langage d'éclairs, d'eau et de lumière que parlent les yeux, le sabir du désir qui n'a de mystère que ce lui des choses tues, un faux mystère, puisque nous n'avons pas besoin des mots pour reconnaître une attraction".

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470 pages de ressentis, de sentiments, de déclarations, de choses tues. Autour de ce couple circulent leurs conjoints et des amis communs. J'ai bien aimé ce qui est décrit, dit. Je mettrai un bémol pour la fin que je n'ai guère appréciée.

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Commentaires
C
il me tente bien celui-là ! je le note pour ma prochaine petite virée à la bibliothèque ! merci !
G
Moi aussi, j'en ai entendu parler. Et pas lu non plus. Mais tu me donnes encore envie !
L
J'en avais entendu parler. Je n'ai toujours pas lu.
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