Bienvenue au pays de la Nous avons passé 15
Bienvenue au pays de la
Nous avons passé 15 merveilleux jours au CALME, au grand air (ça s'est vraiment le cas de le dire. Un tel vent pendant 4 jours qui nous a privées de plage et qui a ramené l'eau à 17°, je n'avais jamais connu), à l'abri de tout voisin inquisiteur, sans fiesta pour nous empêcher de dormir, le bonheur. Le barbecue en prime : tip top.
Je vous présente mes deux meilleures amies de ces quinze jours :
Comme nous sommes sans voiture, dès notre arrivée à la "gare" (en fait c'est juste un arrêt avec un abri) j'ai appelé un taxi pour qu'il nous conduise au camping. Heureusement que j'étais entrée dans l'ère moderne deux mois auparavant et que j'avais acheté un portable car point de cabine à la gare (juste un numéro SNCF pour les infos et un numéro pour le taxi). Enfin, après j'ai découvert une cabine dans le village.
Une fois les bagages défaits et après avoir investi les transats jaunes et blancs, il a fallu penser au ravitaillement pour le lendemain (car je n'avais que de quoi petit-déjeuner). Comme nous n'étions qu'à 1, 6 kms du village, j'ai entrepris le mardi matin avec ma fille et mon sac à dos de m'y rendre pour aller m'approvisionner à la mini supérette (car point de commerçant dans ce village hormis un boulanger, un café et le marchand de journaux et bouées et planches -hors de prix-). J'ai rapidement rebroussé chemin car il fallait emprunter une départementale qui montait, descendait, tournait et sans trottoir bien sûr. La dame du camping nous a donc dit : "sortez par l'arrière du camping, à droite à travers la pinède, vous arriverez au village". Ce que l'on a fait. Sauf qu'à part la pinède, nous ne voyions rien. Enfin à un moment nous avons vu deux maisons en pleine pinède, avec un panneau "propriété privée". Avant qu'ils ne lâchent les dobermans, nous avons rebroussé chemin. Je reste d'ailleurs étonnée qu'en bord de littoral à 200 mètres de la mer et en pleine pinède, des particuliers aient pu construire deux maisons... Bref. Nous sommes revenues sur nos pas, puis sommes allées tout droit pour arriver au bord de mer et suivre le chemin de G.R. Arrivées enfin au bas du village au bord de la mer, il nous a fallu remonter une grande rue. Après que le sac à dos ait été rempli et un sac de courses aussi, j'ai rappelé le taxi (le même chauffeur d'ailleurs), qui nous a reconduit au camping. Je ne me voyais pas traverser la pinède chargée comme un baudet. Voici ce que l'on voyait en sortant du camping :
vous comprenez pourquoi nous sommes parties avec regrets au bout de deux semaines.
La suite demain, avec nos quelques jours à Nice.